Quand l’acte d’écrire est laborieux, inefficace, source de déplaisir 
ou d'échec.

Les principaux signaux d’alerte:

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• Vitesse d’écriture déficiente:

  • Trop lente : nuit au suivi scolaire (attention une « belle » écriture peut être inefficace et trop lente)

  • Trop rapide ou trop impulsive : écriture déstructurée, sale

• Lisibilité altérée:

  • Apparence négligée, malhabile, manque de soin

  • Mauvaises formes, mauvais mouvements, mauvaises proportions, mauvaises liaisons entre les lettres, etc.

  • Mauvaise organisation spatiale : lignes chaotiques, mises en page déstructurées, lettres mal construites, écriture en miroir, etc.

• Mauvaise tenue de l’outil scripteur

• Latéralité ambiguë: hésitation entre la gauche et la droite, prise de l’outil une fois à gauche, une fois à droite

• Tensions, crampes, douleurs musculaires au niveau de la main, du poignet, du bras, des épaules, …

• Problèmes au niveau de l’orthographe : situation de double-tâche, impossibilité de se concentrer sur les gestes d’écriture ET sur les règles orthographique

• Fatigue et fatigabilité 

• Baisse de l’estime de soi, de la confiance en soi, découragement

• Désintérêt (voire dégoût) pour tout acte d’écriture et souvent de dessin
   

C’est généralement vers l’âge de 7-8 ans que les professeurs et/ou les parents commencent à se poser des questions mais certains enfants peuvent montrer des signes à un âge plus précoce (douleurs, phobie de l’écriture, mauvaise tenue de l’outil, productions sales et déstructurées,…) ou bien plus tard.

Il est important d’agir rapidement si les signaux persistent.